L'odyssée de la nuit ne se raconte pas et les insomniaques se taisent. Pourtant, l'auteure a choisi d'entreprendre un voyage dans le pays singulier des nuits blanches. Elle y a interrogé poètes, médecins, noctambules, musiciens, etc.
A travers ce récit, l'auteur raconte quarante ans de son existence, notamment sa vie dans sa maison des Yvelines. Elle devient une maison-refuge non loin de Paris, où il fait bon vivre, écrire, manger et rire, jusqu'à ce qu'elle soit vendue en 2007
L'amie, c'est Marguerite Duras. Entre elle et Michèle Manceaux, il y a trente ans d'intimité, de connivence, de conversations, depuis le jour de 1955 où la jeune journaliste entre pour la première fois rue Saint-Benoît [...]. Michèle Manceaux évoque une Duras vivante, odieuse, touchante. Elle n'accuse pas, n'absout pas : elle observe, admire, aime, rigole. Souvenir ou portrait, son livre est formidablement fidèle.